Certaines caractéristiques de la signature de Polaire
qui est brodée sur ces serviettes indiquent qu'elles
datent probablement du début des années 1910.
Polaire les a conservées jusqu'à la fin de sa
vie. Elles ont été minutieusement ravaudées
par endroits. Sans doute par sa vieille servante, «
Jeanne
Peigné, qui s'est consacrée à elle avec un désintéressement
absolu, en souvenir du temps où, jeune cousette, elle habillait
la généreuse artiste.
» [extrait d'un article de Paris-Midi daté
du 15 février 1938]