Dans son son livre Danseuses, publié
en 1904, Willy mentionne cette valse : «
...la danseuse presse la fin de la valse; et, pour se faire
pardonner l'érotisme de ses trémoussements, elle tasse à présent
ses jupes et, en un bercement ponctué par le rythme de Polaire-Valse,
les dodeline, sérieuse, quasi-maternelle. »